entretien avec un-e client-e du magasin de producteurs court-circuit

Client.e, la soixantaine, en vacances sur la presqu’île, préfère par rapport à Quiberon, car c’est moins infesté de touristes, plus naturel. Adepte des marchés locaux y compris à Versailles où il.elle vit, apprécie les produits locaux et naturels et pense que ce n’est qu’un début et que cette dynamique va s’étendre largement. Aimerait trouver ici plus de légumes frais. Serait bien allée dans les fermes mais n’a pas trouvé d’indications. Passé.e par hasard devant le magasin en cherchant à se procurer un habit marin, ramène aussi de ses vacances des « souvenirs de légumes », du calvados et de la bière locale, de la spiruline… Considère que « les gens veulent manger naturel », récuse le label bio qui lui semble idiot, trop cher, pour les bobos. S’intéresse également à la culture d’algues, dégout de la société de consommation, recherche la simplicité, mange quand même du homard, mais cuisiné maison.